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NOTRE AIRE DE REPOS A PINTO AU SUD DE MADRID |
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LA PUERTA DEL SOL |
MUSÉE ACADÉMIE DES BEAUX ARTS SAN FERNANDO
Edifice néoclassique, non restauré apparemment depuis
sa construction en 1752, qui offre à première vue un aspect assez vieillot,
presque dégradé, contrastant avec les autres musées ou palais que nous avons visités ;
il présente néanmoins de grandes œuvres de grands artistes, dont des Goya qui
fit partie de l’Académie en son temps, fin XVIIIème siècle. Une bonne collection de
peintres du siècle d’or espagnol, du XVIème siècle au XVIIème siècle : Velasquez, Murillo, Ribera, Zurbaran, El Greco ...
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ZURBARAN - FRAY FRANCISCO ZUMEL - XVI° |
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ZURBARAN - L'APPARITION DU CHRIST ET
DE LA VIERGE AU BÉAT ALONSO RODRIGUEZ - 1630 |
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ZURBARAN - UN MOINE |
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ZURBARAN - UN MOINE |
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ZURBARAN - AGNUS DEI - 1639 |
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EL GRECO - ST JÉRÔME - 1600 |
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SEBASTIANO DEL PIOMBO - MAGELLAN - XVI° |
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LE TINTORET - LA CÈNE - XVI° |
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RUBENS - ST AUGUSTIN ENTRE LE CHRIST ET LA VIERGE - 1615 |
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RUBENS - SUZANNE ET LES VIEUX - 1608 |
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ARCIMBOLDO - LE PRINTEMPS - 1563 |
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GOYA - AUTOPORTRAIT 70 ANS - 1815 |
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GOYA - L'ENTERREMENT DE LA SARDINE - 1812 |
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GOYA - AUTOPORTRAIT DEVANT LE CHEVALET - 1790 |
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GOYA - DON JUAN DE VILLANUEVA , ARCHITECTE DU PRADO - 1805 |
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GOYA - MORATIN, POÈTE ET DRAMATURGE - 1799 |
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BENLLIURE - BUSTE DE GOYA - XIX° |
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GOYA - LA TIRANA, ACTRICE |
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GOYA - MAISON DES FOUS |
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GOYA - SCÉNE D'INQUISITION - 1814 |
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GOYA - PROCESSION DE FLAGELLANTS |
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GOYA - COURSE DE TAUREAUX DANS UN VILLAGE - 1808 |
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TIEPOLO - TÊTE DE VIEIL HOMME |
PLAZA DE
CIBELES
Grande place connue pour les manifestations ou
réunions de fans du Real Madrid ! Consacrée à Cybèle, déesse de la
fertilité, qui trône en son milieu sur un grand char tiré par deux lions ;
autour de la place, le Ministère de la Défense, le Palais des Communications
avec sa tour mirador de 70 m, la Banque d’Espagne, le Palais de Cybèle, de
style romantico-gothique.
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PLAZA DE CIBELES |
LA PUERTA
DE ALCALA
Porte imposante, au milieu de la Place de
l’Indépendance, commémorant l’entrée triomphale du roi Charles III au XVIII°.
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PUERTA DE ALCALÁ |
GRAN VIA
L’artère principale de Madrid avec une grande
animation, une succession ininterrompue de grands magasins, bureaux, dont celui
de la Telefonica, agences, hôtels de luxe, cinémas, et une grande circulation
évidemment.
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LA GRAN VÍA |
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LA GRAN VÍA |
PLAZA DE
ESPAÑA
Une grande esplanade au départ de la Gran Via, à
l’ouest de la ville, bien ombragée, agréable pour soulager la fatigue et la
chaleur ; une belle statue de Cervantés
accompagné de ses héros, Don Quichotte et Sancho Panza.
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PLAZA DE ESPAÑA |
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PLAZA DE ESPAÑA - DON QUICHOTTE ET SANCHO PANZA |
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PLAZA DE ESPAÑA - DON QUICHOTTE ET SANCHO PANZA - CERVANTES |
TEMPLE DE
DEBOD
A l’ouest de la ville, dans le Parc de l’Ouest, sur le
promontoire Principe Pío surplombant la Plaza de Espana et le Palais Royal,
nous avons la surprise de nous retrouver brusquement devant un temple égyptien ; en fait,
contrairement à ce que l’on pensait, il s’agit bien d’un vrai temple,
déconstruit en Nubie et reconstruit ici, à l’identique, offert en 1968 par le
gouvernement égyptien à l’Espagne pour sa collaboration au sauvetage du site
d’Abou Simbel qui devait être noyé par le barrage d’Assouan. Dédié aux
divinités Amon et Isis, nous retrouvons dans ce temple, à l’intérieur, les
symboles et hiéroglyphes encore bien visibles qui leur sont consacrés.
Une vision assez incongrue dans cette ville,
inattendue, mais tout de même un beau temple et un bel environnement.
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LE TEMPLE DE DEBOD |
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OFFRANDE DU PAIN A LA DÉESSE ISIS |
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ADIJALAMANI OFFRE UN PAIN A ISIS |
LE PALAIS ROYAL
Cet immense édifice de style néoclassique a été
construit au XVIII° en une trentaine d’années après l’incendie qui a détruit
l’ancien palais en 1734 ; il s’agissait d’une ancienne forteresse arabe du
IX°, récupérée en 1085 par les rois chrétiens qui poursuivaient la reconquête
de leur royaume, transformée par Charles Quint au XVI° en palais Renaissance,
puis en palais royal par son fils Philippe II qui transféra la capitale
espagnole de Tolède à Madrid en 1561.
Nous parcourons un grand nombre de salles (on
se croirait à Versailles), toutes très richement décorées ; si nous
n’apprécions pas toujours les divers styles exposés, nous n'en admirons pas moins
le travail des artistes et ouvriers qui ont participé à ces créations.
Après le musée du Prado, c’est le lieu qui nous a
le plus intéressé.
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LE PALAIS ROYAL - LA BASILIQUE |
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JARDIN DU PALAIS ROYAL |
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JARDIN DU PALAIS ROYAL |
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JARDIN DU PALAIS ROYAL |
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PALAIS ROYAL VU DE LA PLACE D'ARMES |
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LA COUR DU PALAIS ROYAL |
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ARMOIRIES DU ROYAUME D'ESPAGNE |
La couronne royale couvre un écusson portant les armes
des quatre royaumes historiques de la péninsule : en haut à gauche, les châteaux
du royaume de Castille au centre de l'Espagne (Castillo en espagnol signifie château) – en haut à
droite, le lion du royaume de Léon (lion en espagnol), au nord-ouest de la Castille – en bas à
gauche, les quatre pals (lignes verticales) du royaume d’Aragon – en bas à
droite, les chaines du royaume de Navarre – au centre, les trois lys
représentant la dynastie des Bourbons régnant en Espagne depuis 1716 avec Philippe V,
petit-fils de Louis XIV.
LES TAPISSERIES RELATANT DES ÉPISODES DU DON QUICHOTTE DE LA MANCHA
Philippe V, grand admirateur de Cervantes et de son œuvre
majeure, le Don Quichotte de la Mancha, a commandé une série de tapisseries
relatant divers épisodes du roman.
Pieds et mains liés, dans une cage en bois sur une charrette
tirée par des bœufs, le héros chevaleresque doit revenir à sa demeure qu’il
avait quitté pour combattre les moulins à vent et défendre la veuve et
l’orphelin ; l’enlèvement a été organisé par le curé et le barbier de son
village pour le ramener à la maison, ou plutôt à la raison ; son fidèle
écuyer monte sur son âne pour l’accompagner ; les servantes de l’auberge
lui disent au-revoir.
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PALAIS ROYAL - SALLE DU TRÔNE |
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LA BASILIQUE VUE DE LA COUR DU PALAIS |
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STATUE ÉQUESTRE DE CHARLES III |
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L' HEURE DU PASEO |
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L'OURS ET L'ARBOUSIER, SYMBOLES DE MADRID, PUERTA DEL SOL |
Plusieurs légendes sont à l’origine de ces deux symboles
madrilènes qui figurent sur le blason de la ville ; la plus
populaire affirme que cela est dû au fait que Madrid était jadis appelée Ursa (« Ours » en latin), car à l’époque, les forêts
d’arbousiers aux alentours étaient peuplées d’ours.
Une autre légende raconte qu’il y eut une dispute entre la Ville
et le conseil municipal à propos de la propriété de certains terrains.
Finalement, la Ville reçût les zones arborées et le conseil municipal obtint
les pâturages. C’est pour cette raison que les arbousiers apparurent sur le
blason de la ville.
La grande statue mesure au total 4 m de hauteur et pèse plus de
20 t.
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